A quoi
bon écrire ces mots qui ne changeront rien
des
mots qui te fuient dans les cicatrices non refermées
l’écriture
en apnée, l’usure ou l’épuisement
la vie
suspendue à des incertitudes s’est envolée
le
corps meurtrit laisse place au vide qui s’extériorise
Je
n’arrive plus à écrire, sait-on jamais quand s’arrête une vie?
Steeve
M. Septembre 2015.
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