Comme
un tourbillon au milieu de nulle part les mots s’égarent sur le papier humide
Le temps
d’une respiration essentielle, jusque là tout va bien c’est toi mon soleil
Osant à
peine respirer, tes rêves dans tes bras tu les as serrés doucement contre toi
Il y a
le temps, il y a l’attente, il y a la confiance, il y a le doute quand on
tourne en rond
Ce
soir je vais suspendre le temps, pourquoi pas le raccourcir ou simplement l’arrêter.
Steeve
M. Avril 2016.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire