dimanche 15 mai 2016

Ô délire ! ô folie !

Ô délire ! ô folie ! Je me perds dans mes phrases délirantes
Il est trois heures du matin et le sommeil ne reviendra plus
Je navigue à travers mes poèmes pour tuer le temps
Je me vois comme un mystère…
Peut-on s’absenter de sa vie et rester vivant pour les autres ?
Souvent je me demande qui je suis…
Le cours de ma vie surgit à nouveau de ma mémoire
Je laisse mes empreintes partout ou je vais
La recherche de l’impossible ne me fait pas peur
J’ai crée mon propre monde parmi les gens qui m’entourent
Pas de virtuel, je ne connais pas ce mot
Pas de distance, je rêve de te voir un jour
Pas de choix, ma porte est toujours ouverte
Croire en l’amitié permet d’enlever nos masques quotidiens
Rester soi-même tout en acceptant l’autre sans jugement
Il y aura des jours meilleurs si tu gardes le sourire
Et comment me vois-tu ? Comme un mystère !
Il existe en moi l’âme humaine qui fait naître la lumière dans le noir.


Steeve M. Mai 2016.



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