Prisonnier de la liberté on a toujours peur de la vie
Et même si le mal n’est pas visible je préfère la réalité
Un peu de réconfort dans l’extrême solitude des mots
A un moment donné on se lasse de dire que c’est blanc ou
noir
Alors que chacun protège la solitude de l’autre
Dans les sinuosités absurdes de la vie
La tristesse est toujours temporaire.…
Elle ne remplira jamais le vide qui dévore mon cœur.
Steeve M. Octobre 2017.
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