Au crépuscule de mes émotions je vous raconte mon
fantasme
Rien de moi n’est attaché à rien, l’espoir fût
provisoire
J’ai des mots dans la tête, des mots qu’il faut que je
partage
Tout s’emmêle avec le temps et ça sent la prison
Parce que ton absence est mon début d’une longue émotion
Je reconstitue dans mon fantasme ce regard inconnu derrière
ton masque
Et je laisse la musique remplir le silence à travers ton
corps transparent
Brûlant de désir je sens le besoin de me blottir contre
ton ombre
Deux corps qui s’éparpillent et tout paraît parfaitement
irréel
Etranger dans ce décor je vis au présent pour la première
fois.
Steeve M. Août 2018.
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