mardi 25 février 2014

Femme fatale.

L’étoile brulant du matin
allume ton corps assoiffé de caresses.
Légèrement drapé,
Tu laisses apparaitre
les courbes de ce corps
brulant de désirs.
Innocente et offerte,
le souffle court et espacé,
tes gémissements étouffent tes mots
avec ivresse.
Dans ta divine nudité
tu chevauches  dans un infini bonheur
laissant glisser dans ta fente
Les flots de l’amour.


Steeve M. Février 2014.


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