Pour toucher le feu du désir j’inventerai des saisons à l’aube
du plaisir
Plus d’insomnie pour harceler tes rêves lorsque la nuit s’éteint
Lentement je te respire entre mes doigts et pourtant je t’attends
De tout savoir de toi de te connaître enfin…
Désorienté au pied du lit mes mots s’éparpillent sans
voix
Je me perds je m’enterre quand mes yeux s’emmêlent d’ombres
Et quand tombent enfin tes paupières lourdes de
nostalgies
Une lueur consume tout doucement l’envers de mes mots.
Steeve M. Octobre 2018.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire